Vestiaire Collective opte pour un calcul des droits de douane en temps réel
Afin de gérer le nombre croissant d’articles disponibles sur son site et le développement de ses ventes hors des frontières européennes, la principale plateforme mondiale de mode d’occasion Vestiaire Collective a fait appel à l’éditeur de solutions logicielles pour la Supply Chain Descartes Systems Group pour lui fournir une base de données de commerce international.
« Auparavant, nous appliquions un forfait par pays pour déterminer les droits de douane auxquels devait s’acquitter un acheteur, explique Charles Bellois, directeur des Opérations de Vestiaire Collective. Cependant, plus le nombre de références de notre catalogue s’accroît, plus nous nous développons en dehors de l’UE, et plus il devenait difficile de gérer ces taxes au forfait ».
Pour passer d’un mode forfaitaire par pays à un calcul à la transaction, Descartes fournit à Vestiaire Collective une base de données complète de nomenclatures douanières de marchandises, mise à jour quotidiennement par ses équipes, pour 29 pays (hors Europe).
À partir de ces données et grâce à ses algorithmes, Vestiaire Collective est désormais en capacité de calculer les droits de douane et taxes applicables à un achat et d’afficher en temps réel sur son site, pendant la prise de la commande, le montant dont devra s’acquitter l’acheteur, lui offrant ainsi une totale transparence.
Ce calcul est réalisé en fonction de sa position géographique, de celle du vendeur, de la composition du produit convoité, et va également permettre à Vestiaire Collective de systématiser les pré-déclarations en douane améliorant ainsi significativement ses délais de livraison.
« Notre mode de fonctionnement au forfait ne nous permettait pas, jusqu’alors, d’ouvrir à la vente certains pays. Grâce à la base de données de Descartes et au calcul précis qu’elle permet, notre catalogue est maintenant disponible à la vente dans 21 nouveaux pays : en Afrique du Sud, au Brésil, en Malaisie, aux Philippines, au Qatar, à Taïwan, aux Émirats Arabes Unis », conclut Charles Bellois.