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Le Cloud facilite l’interconnexion des applications de digitalisation
La transformation digitale

Le Cloud facilite l’interconnexion des applications de digitalisation

Malgré l’arrivée à maturité des technologies du marché, l’automatisation des processus reste encore trop souvent partielle dans les organisations et n’est pas toujours déployée sur l’ensemble de la chaîne des processus documentaires ou métiers. En cause notamment, une vision morcelée de la digitalisation et un recours à de multiples solutions déployées en silos.

Bien que les fournisseurs de solutions s’orientent vers une « plateformisation de leur offre », apportant de plus en plus la possibilité de gérer des processus de bout en bout, le recours à une solution unique et complète, n’est pas encore la norme.  C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les acteurs de ce marché s’attachent à développer des API, à savoir des connecteurs qui permettent aux différents applicatifs d’un système d’information (SI) de communiquer entre eux. Le recours à l’ensemble de ces technologies est d’autant plus aisé aujourd’hui lorsque les solutions utilisées par les entreprises sont nativement développées dans le Cloud.

Les technologies « cloud natives » sont en effet le meilleur moyen de construire des systèmes critiques et capables d’évoluer rapidement pour absorber instantanément des grandes charges de travail et de nouvelles technologies, mais aussi pour développer de nouveaux services. Autant de raisons qui ont par exemple incité la société Odice à migrer vers l’ERP Cegid XRP Flex, développé nativement dans le Cloud.

Odice mise sur un ERP Cloud Native pour accompagner son développement

En créant il y a douze ans son entreprise spécialisée dans le froid et les équipements de cuisine pour les professionnels, Jean-Luc Sube, dirigeant de Martinon MSE (Groupe Odice), entrevoyait alors la possibilité d’un succès qui lui permettrait de garder l’humain au centre. Aujourd’hui, il préside un groupe de cinq sociétés opérationnelles (treize structures en tout) en forte croissance, dont ses deux fils Julien et Romain assurent la codirection.

Le défi d’une gestion multi-sociétés et multi-sites

Le développement de la société et l’ajout progressif de nouvelles structures dans le groupe ne s’est évidemment pas fait sans défis.

« Qui dit croissance externe, dit intégration de nombreux outils de gestion différents et spécifiques, ce qui finit par créer une complexité notable pour consolider les activités de nos différentes sociétés », souligne Julien Sube, directeur de Martinon MSE, en illustrant la problématique « multi-sociétés et multi-sites » commune à de nombreuses belles PME françaises.

D’autant plus que les métiers du groupe peuvent demander une logistique significative dans la durée. « En plus de la vente des équipements de cuisine et de froid, nous avons des prestations de services (et de maintenance) pour pouvoir accompagner nos clients à plus long terme. Nous menons également des opérations complexes qui peuvent nécessiter plusieurs années de travail, avec des problématiques de gestion significatives très particulières à notre domaine. Sans outil de gestion adapté à ces métiers, assurer la réussite de l’entreprise devient très difficile », précise-t-il.

Quand une entreprise connaît une telle croissance, la variété des outils existants fait vite prendre du retard, avec un impact extrême sur la comptabilité en fin de chaîne. Chaque entreprise ayant ses propres processus, l’harmonisation finit par devenir impossible.

« En tant que directeur financier, mon objectif est bien d’avoir une base commune, un seul plan comptable, une seule base de tiers, pour les fournisseurs et pour les clients… et que la distance géographique de nos implantations ne soit plus un frein au partage d’informations », ajoute pour sa part Yannick Molinari, directeur financier du groupe.

Le choix du « cloud » pour préparer l’avenir C’est précisément pour harmoniser l’ensemble de ses besoins de gestion au sein d’une même plateforme Native Cloud (conçue directement dans le Cloud), qu’Odice a retenu Cegid XRP Flex.

« Nous entendions également pouvoir profiter de notre ERP de n’importe où dans le monde à partir du moment où l’on a une connexion Internet, précise Julien Sube. Le Cloud est donc rapidement devenu l’élément clé n° 1 de notre cahier des charges pour préparer l’avenir. D’autre part, Cegid XRP Flex disposait de modules pertinents pour nos activités de SAV mais aussi de chantier ».

L’approche plateforme de Cegid XRP Flex permet également à l’entreprise de pouvoir s’appuyer sereinement sur des outils spécialisés. Les dirigeants d’Odice prennent ainsi l’exemple de la gestion des interventions, avec le logiciel Praxedo, dont ils ont lancé le déploiement en parallèle de leur recherche d’un nouvel ERP.

« Nous nous sommes rendu compte que Cegid XRP Flex fonctionnait déjà avec Praxedo par le biais d’un connecteur, cela nous a conforté dans notre choix. Un outil de mobilité seul, c’est bien… mais connecté avec tout notre système, c’est là que l’on va voir la plus-value pour notre organisation et notre modèle opératoire », résume Julien Sube.

Anne Del Pozo collabore depuis près de 20 ans à différents magazines en qualité de journaliste. Elle y traite de sujets articulés essentiellement autour de la finance, des flottes automobiles, du voyage et du tourisme d'affaires ou encore des ressources humaines et du numérique. Anne del Pozo participe également à la rédaction de nombreux témoignages clients et de newsletters d'entreprise.